Notre histoire
Évidemment, je n ‘ai pas de photo de ce moment, en voici une de l’IA pour l’illustrer.
La naissance de l'idée
Notre histoire débute avec une manifestation de roller. Plus de 2000 rollermans, et moi (Ève) avec mon aînée et une poussette cross. Il fait chaud, je donne le biberon d’eau à ma fille et roule aussi vite que possible, poussette aux mains. Tout semble se dérouler à merveille jusqu’au moment où ma fille décide de jeter son biberon sur la chaussée, en pleine descente, au milieu de tous. Nous sommes trop nombreux, nous allons trop vite, je ne peux pas m’arrêter. Je tourne la tête, une personne se penche, attrape et jette le biberon sur le trottoir : ouf !
En une fraction de seconde, tout aurait pu basculer créant un accident en chaîne. Si, fort heureusement, l’accident est évité, ma fille, elle, ne sera pas épargnée par la soif. Je m’arrête un moment, pour acheter de l’eau, lui donne en me stoppant à chaque fois qu’elle boit et, je mettrais un point d’honneur à terminer cette course, dernière.
Le soir, en rentrant, je repense à cet instant, à cette seconde où le biberon aurait pu provoquer des chutes en série en pleine descente. Je cherche une solution pour maintenir le biberon pendant que mon enfant boit : je ne trouve rien !
Rien ne semble exister pour maintenir les biberons alors qu’ils sont utilisés par les enfants.
Ça n’existe pas ? Qu’à cela ne tienne, je le créerai. Je relève le défi, sans savoir à quoi je m’expose, fleur au fusil.
Et si je pensais déjà aux améliorations possibles ?
Et si je pensais déjà aux améliorations possibles ?
Je me lance dans les dessins, approximatifs (je ne sais pas dessiner), puis je réfléchis : le biberon maintenu, est-ce ma seule exigence ?
Bien sûr que non !
Cette attach’biberon sera isotherme, antichoc, capable de verrouiller, aux plus petits, l’accès à la bague des biberons (partie qui porte la tétine, que vous dévissez) afin qu’ils ne vident pas le contenu. Universelle, hors de question de devoir acheter un biberon spécifique, et réglable.
Le tout le plus écologique, durable possible, le plus sain et le moins polluant.
Faciliter la vie des parents, l’autonomie des enfants oui, mais si cela peut être fait en pensant à l’avenir de ceux qui seront adultes demain, c’est mieux.
Et si je pensais déjà aux améliorations possibles ?
Cette citation d’Antoine de Saint-Exupéry, pour moi qui suis mère de famille nombreuse, à toute son importance :
« Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. »
L’idéal était posé. La quête pouvait commencer.
La quête, carrément ? Oh que oui ! Vraiment…
Idées, dessins, business plan, brevets, essais, prototypes, marketing, je n’y connais strictement RIEN. Finances… je vais éviter de commenter.
Tout semble impossible, pourtant au fond de moi, je ressens qu’avec de la persévérance et une forme de Foi en ce projet et en la vie,
sa réalisation devient un-possible.
Quelques années plus tard ?
Quelques années plus tard ?
Quelques années passent, des années où je m’occupe de mes enfants à 100 pour cent, des années où je gère ma culpabilité :
« Un produit de plus Ève ! Quel impact sur la planète et pourquoi faire ? »
Un travail sur soi prend du temps. Il était nécessaire. Introspection et centrage.
Ce n’est pas une invention inutile de plus, c’est une libération pour bien des parents, une liberté pour nombre de bambins et la possibilité d’apporter un soutien à des personnes, à des associations.
Je reprends du poil de la bête. Je décide d’en parler à une amie. Elle adore l’idée. Ses petits font toujours tomber leurs gourdes dans la voiture et l’idée de pouvoir les accrocher avec le Baroud’O la séduit fortement.
Nous faisons les choses un peu, beaucoup, dans le désordre… mais qu’importe.
Un an plus tard, nous avons toutes les informations pour les brevets que nous avions même tentés de rédiger nous-mêmes (finances obligent) avant de nous rendre dans un cabinet spécialisé ; nous avons cousu des essais (qui n’ont l’air de rien) mais qui nous ont permis de savoir dans quel ordre coudre les pièces ; nous sommes passées par des couturières (c’était mieux, mais pas parfait). À cette époque, le produit était en coton bio.
Quelques années plus tard ?
Le problème ? Cela demandait une matière isotherme en plus (une matière polluante).
Une étude de marché revient, très encourageante.
Our Mission
Le concours Lépine
Nous nous inscrivons au concours Lépine en ayant simplement déposé une demande de brevet (frais partagés) sans savoir si nous l’aurions. Nous allons au concours avec des prototypes non fonctionnels. Sur place, votre confiance, votre engouement, vos encouragements… nous touchent.
Ce fut une expérience unique et encourageante.
Nous obtenons le brevet européen. Nous ? Oui, vous pouvez déposer à plusieurs, moi et une amie nous concernant.
Il était évident pour moi qu’elle engageait du temps et de l’argent et que nous serions donc à parts égales sur le brevet.
Nouvelle matière
En cherchant, mon amie et collègue a découvert un néoprène sans pétrole.
Cette matière est juste parfaite pour notre demande : isotherme, antichoc, moderne, non polluante, car sans pétrole. Pas besoin d’ajouter une partie isotherme, une partie qui s’occupe des chocs. Non.
Cette matière, c’est du tout-en-un !
Moment de remise en question
Une période de flottement, comme il en existe souvent, survient. Nous ne sommes pas raccord. Elle ne se sent pas prête pour monter une entreprise et fabriquer le produit. Moi si. Nous n’avons, il faut le dire, ni l’une, ni l’autre, les finances et ne cherchons pas à lever des fonds.
On ne sait pas que cela existe pour des personnes inconnues… On partait de nulle part, en n’y connaissant rien, vous vous souvenez ?
Donc, à ce moment-là, on décide de voir pour une licence. Oui mais… le produit sera-t-il durable (de qualité) et écologique ? Pouvons-nous l’ajouter dans les conditions du contrat ?
C’est là que la quête commence véritablement. Le Graal ! Un produit de fabrication française, écologique, en néoprène sans pétrole…
J’ai envie de vous écrire : « LOOOL » parce que ça résume, je crois, ce qu’on nous a dit, année après année… enfin, cela fut parfois bien plus constructif, avec des conseils, mais si l’on résume : fabriquer en France, un petit produit en néoprène (sans pétrole ou non), on pouvait oublier. Personne n’a voulu.
En jeu : le rapport temps de fabrication / prix de vente (il s’agissait forcément de fabrication artisanale (personne n’avait les machines nécessaires en France pour le fabriquer de façon industrielle) et il aurait fallu le vendre près de 150 euros, ce qui est évidemment hors de question).
Les marques de puériculture trouvaient, en général, l’idée très bonne, mais elles voulaient nous la racheter si nous la fabriquions et qu’elle se vendait bien.
Hors nous, nous voulions éviter le coût R&D (Recherches et Développement) puisque nous ne pouvions pas le payer.
Il est temps de décider de ce qui est le plus important à nos yeux...
Il faut choisir…
Continuer à courir après des licences ou se débrouiller pour la fabrication ?
Écologie, matière plus saine ou endroit géographique ? Chercher la meilleure alternative…
C’est tout vu, la fabrication ne sera pas française. On ignore où à ce moment-là. On se dit que ce sera l’occasion de créer un fond santé solidaire pour les employés du pays où l’on sera, en plus d’une prime annuelle établie par rapport aux bénéfices.
Cesser les négociations où notre demande de matières saines pour le produit « coûte trop cher » ; on arrête la recherche de licence.
On se lance donc dans l’aventure de la fabrication/commercialisation.
Poursuivre, même seule... persévérer.
Batailles, recherches, rédaction d’un business plan… Ma collègue et amie s’essouffle. Je poursuis seule le paiement des brevets, chaque année, le travail de recherche… Cependant, je tiens à ce qu’elle reste sur le brevet, elle y a cru au départ, s’est engagée des années, je tiendrai parole, c’est très important pour moi.
Il aura encore fallu 2 ans peut-être avant que je me décide à passer par un designer pour améliorer le capuchon et quelque 10 000 euros que je n’ai pas. Je saute dans le vide, négocie un accord de paiement mois après mois pour pouvoir y arriver. Le designer est d’accord. C’est une nouvelle aventure.
La société est montée. Un peu trop en avance (sachez que c’est une erreur de la monter trop tôt).
Le Baroud’O naît dans une nouvelle version qui nous plaît beaucoup.
Je trouve les fabricants. La matière première a évolué, il y a maintenant plusieurs néoprènes sans pétrole et encore plus écologiques. J’évite ceux à base de canne à sucre et d’hévéa. Ces matières m’inquiètent un peu, l’industrie du pneu se met dedans, j’ai peur que cela devienne rapidement « l’huile de palme » d’aujourd’hui pour générer toujours plus de plantation.
Pourtant, ceux qui l’utilisent dans le monde de la plongée passent par des forêts écogérées.
Je conserve deux options :
– du néoprène entièrement recyclé de chez TerraCycle, qui recycle ce qui n’est pas censé l’être, les héros modernes n’ont pas de cape (ma question : « Quelle quantité est réalisable ? »)
– le Yamamoto 100% calcaire.
– Sûrement, un mélange des deux, selon la quantité que nous pourrons obtenir de néoprène entièrement recyclé.
Prévente
Et si je pensais déjà aux améliorations possibles ?
Je me lance dans les dessins, approximatifs (je ne sais pas dessiner), puis je réfléchis : le biberon maintenu, est-ce ma seule exigence ?
Bien sûr que non !
Cette attach’biberon sera isotherme, antichoc, capable de verrouiller, aux plus petits, l’accès à la bague des biberons (partie qui porte la tétine, que vous dévissez) afin qu’ils ne vident pas le contenu. Universelle, hors de question de devoir acheter un biberon spécifique, et réglable.
Le tout le plus écologique, durable possible, le plus sain et le moins polluant.
Faciliter la vie des parents, l’autonomie des enfants oui, mais si cela peut être fait en pensant à l’avenir de ceux qui seront adultes demain, c’est mieux.
Cette citation d’Antoine de Saint-Exupéry, pour moi qui suis mère de famille nombreuse, à toute son importance :
« Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. »
L’idéal était posé. La quête pouvait commencer.
La quête, carrément ? Oh que oui ! Vraiment…
Idées, dessins, business plan, brevets, essais, prototypes, marketing, je n’y connais strictement RIEN. Finances… je vais éviter de commenter.
Tout semble impossible, pourtant au fond de moi, je ressens qu’avec de la persévérance et une forme de Foi en ce projet et en la vie,
sa réalisation devient un-possible.
Quelques années plus tard ?
Quelques années passent, des années où je m’occupe de mes enfants à 100 pour cent, des années où je gère ma culpabilité :
« Un produit de plus Ève ! Quel impact sur la planète et pourquoi faire ? »
Un travail sur soi prend du temps. Il était nécessaire. Introspection et centrage.
Ce n’est pas une invention inutile de plus, c’est une libération pour bien des parents, une liberté pour nombre de bambins et la possibilité d’apporter un soutien à des personnes, à des associations.
Je reprends du poil de la bête. Je décide d’en parler à une amie. Elle adore l’idée. Ses petits font toujours tomber leurs gourdes dans la voiture et l’idée de pouvoir les accrocher avec le Baroud’O la séduit fortement.
Nous faisons les choses un peu, beaucoup, dans le désordre… mais qu’importe.
Un an plus tard, nous avons toutes les informations pour les brevets que nous avions même tentés de rédiger nous-mêmes (finances obligent) avant de nous rendre dans un cabinet spécialisé ; nous avons cousu des essais (qui n’ont l’air de rien) mais qui nous ont permis de savoir dans quel ordre coudre les pièces ; nous sommes passées par des couturières (c’était mieux, mais pas parfait). À cette époque, le produit était en coton bio.
Le problème ? Cela demandait une matière isotherme en plus (une matière polluante).
Une étude de marché revient, très encourageante.
Le concours Lépine
Nous nous inscrivons au concours Lépine en ayant simplement déposé une demande de brevet (frais partagés) sans savoir si nous l’aurions. Nous allons au concours avec des prototypes non fonctionnels. Sur place, votre confiance, votre engouement, vos encouragements… nous touchent.
Ce fut une expérience unique et encourageante.
Nous obtenons le brevet européen. Nous ? Oui, vous pouvez déposer à plusieurs, moi et une amie nous concernant.
Il était évident pour moi qu’elle engageait du temps et de l’argent et que nous serions donc à parts égales sur le brevet.
En cherchant, mon amie et collègue a découvert un néoprène sans pétrole.
Cette matière est juste parfaite pour notre demande : isotherme, antichoc, moderne, non polluante, car sans pétrole. Pas besoin d’ajouter une partie isotherme, une partie qui s’occupe des chocs. Non.
Cette matière, c’est du tout-en-un !
Moment de remise en question
Une période de flottement, comme il en existe souvent, survient. Nous ne sommes pas raccord. Elle ne se sent pas prête pour monter une entreprise et fabriquer le produit. Moi si. Nous n’avons, il faut le dire, ni l’une, ni l’autre, les finances et ne cherchons pas à lever des fonds.
On ne sait pas que cela existe pour des personnes inconnues… On partait de nulle part, en n’y connaissant rien, vous vous souvenez ?
Donc, à ce moment-là, on décide de voir pour une licence. Oui mais… le produit sera-t-il durable (de qualité) et écologique ? Pouvons-nous l’ajouter dans les conditions du contrat ?
C’est là que la quête commence véritablement. Le Graal ! Un produit de fabrication française, écologique, en néoprène sans pétrole…
J’ai envie de vous écrire : « LOOOL » parce que ça résume, je crois, ce qu’on nous a dit, année après année… enfin, cela fut parfois bien plus constructif, avec des conseils, mais si l’on résume : fabriquer en France, un petit produit en néoprène (sans pétrole ou non), on pouvait oublier. Personne n’a voulu.
En jeu : le rapport temps de fabrication / prix de vente (il s’agissait forcément de fabrication artisanale (personne n’avait les machines nécessaires en France pour le fabriquer de façon industrielle) et il aurait fallu le vendre près de 150 euros, ce qui est évidemment hors de question).
Les marques de puériculture trouvaient, en général, l’idée très bonne, mais elles voulaient nous la racheter si nous la fabriquions et qu’elle se vendait bien.
Hors nous, nous voulions éviter le coût R&D (Recherches et Développement) puisque nous ne pouvions pas le payer.
Il est temps de décider de ce qui est le plus important à nos yeux…
Il faut choisir…
Continuer à courir après des licences ou se débrouiller pour la fabrication ?
Écologie, matière plus saine ou endroit géographique ? Chercher la meilleure alternative…
C’est tout vu, la fabrication ne sera pas française. On ignore où à ce moment-là. On se dit que ce sera l’occasion de créer un fond santé solidaire pour les employés du pays où l’on sera, en plus d’une prime annuelle établie par rapport aux bénéfices.
Cesser les négociations où notre demande de matières saines pour le produit « coûte trop cher » ; on arrête la recherche de licence.
On se lance donc dans l’aventure de la fabrication/commercialisation.
Poursuivre, même seule… persévérer.
Batailles, recherches, rédaction d’un business plan… Ma collègue et amie s’essouffle. Je poursuis seule le paiement des brevets, chaque année, le travail de recherche… Cependant, je tiens à ce qu’elle reste sur le brevet, elle y a cru au départ, s’est engagée des années, je tiendrai parole, c’est très important pour moi.
Il aura encore fallu 2 ans peut-être avant que je me décide à passer par un designer pour améliorer le capuchon et quelque 10 000 euros que je n’ai pas. Je saute dans le vide, négocie un accord de paiement mois après mois pour pouvoir y arriver. Le designer est d’accord. C’est une nouvelle aventure.
La société est montée. Un peu trop en avance (sachez que c’est une erreur de la monter trop tôt).
Le Baroud’O naît dans une nouvelle version qui nous plaît beaucoup.
Je trouve les fabricants. La matière première a évolué, il y a maintenant plusieurs néoprènes sans pétrole et encore plus écologiques. J’évite ceux à base de canne à sucre et d’hévéa. Ces matières m’inquiètent un peu, l’industrie du pneu se met dedans, j’ai peur que cela devienne rapidement « l’huile de palme » d’aujourd’hui pour générer toujours plus de plantation.
Pourtant, ceux qui l’utilisent dans le monde de la plongée passent par des forêts écogérées.
Je conserve deux options :
– du néoprène entièrement recyclé de chez TerraCycle, qui recycle ce qui n’est pas censé l’être, les héros modernes n’ont pas de cape (ma question : « Quelle quantité est réalisable ? »)
– le Yamamoto 100% calcaire.
– Sûrement, un mélange des deux, selon la quantité que nous pourrons obtenir de néoprène entièrement recyclé.
Prévente
Je décide, pour payer la première série et le moule qui servira à la fabrication capuchon, de passer par une présérie, parce que là il est évident qu’on a été au bout du bout et qu’on ne pourra pas financer plus.
Nous en sommes là, la prévente est prévue le …………. et nous comptons sur vous pour changer le monde (carrément !) avec un capitalisme social et solidaire où les gains sont en partie partagés avec les employés, où la santé compte, où l’attention portée à ceux qui permettent au Baroud’O d’exister est réelle.
Nous comptons réellement sur vous,
L’innovation est notre avenir, ensemble, bâtissons-là !
Inventivement vôtre,
Évenelle, présidente de la S.A.S Baroud’O
De nous à vous 😉
Et vous, vous qui avez un projet, qui en êtes à l’étape c’est impossible, sachez que c’est UN possible.
Foncez ! Écoutez-vous ! Osez. C’est long, c’est lourd, c’est instructif, c’est prenant, c’est chiant, c’est transcendant, c’est lassant, c’est perturbant, c’est toujours à refaire et ça coûte l’argent qu’on n’a pas !!! MAIS…
Vous offrez au monde un peu de votre créativité, un brin de simplicité dans le quotidien ; vous créez ce qui n’existait pas avant votre venue au monde. Vous transformez le capitalisme avec des actions bienveillantes ; vous apporterez à quelque échelle que ce soit.
Et puis merde, ne perdez plus votre temps à regretter celui ou celle que vous auriez pu être ou ce que vous auriez pu faire. Agissez. Maintenant ! Au mieux, vous réussissez, au pire, vous saurez ce que cela a donné, et vous vous pardonnerez. Gardez le cap ! Toujours !
Nous, nous avons envie de vous dire qu’il ne faut surtout pas avoir peur, ne pas trop réfléchir et se jeter à l’eau. L’important, c’est d’essayer. De tenter le coup. De rester ouvert aux possibles.
Dans tous les cas, vous vivrez une aventure extraordinaire. Cela vous amènera à rencontrer nombre de gens intéressants et tenter vous évitera de ressasser toute votre vie le regret de ne pas avoir osé.
Et puis, on ne sait jamais, sur un malentendu, ça pourrait marcher !
On vous le souhaite en tout cas 😀
La famille Baroudesque
Ps : Écoute ton âme, elle sait !